Frais d’enregistrement à la baisse!

NOTAIRE-SALY-IMMOCAP-SENEGAL1Depuis mi-janvier 2013, les frais d’enregistrement sont passés de 15% à 10%

Comptez donc environ 16% de frais d’enregistrement et de notaire

1) Frais honoraires du notaire

4,5 %  – Prix de vente de 1 à 20 Millions

3 %     – Prix de vente de 20 à 80 Millions

1,5 %  – Prix de vente de 80 à 300 Millions
Il faut ajouter la TVA qui est actuellement de 18%

2) Droits d’enregistrement : 10%

15% du prix de vente que le notaire doit reverser aux Impots et Domaines.

3) Conservation fonciere: 1%

1% du prix de vente

Macky SALL autorise Youssou NDOUR a reprendre le micro

YOUSSOU-NDOUR-IMMOCAP-SENEGALUne bonne nouvelle pour les fans et nostalgiques de la voix de Youssou Ndour. Après sa nomination à la tête du ministère du Tourisme et loisirs, le chanteur va reprendre le micro. Selon le site Nettali, Macky Sall et le Premier ministre Abdoul Mbaye l’ont autorisé à reprendre ses activités. Ainsi donc, You va chanter lors d’un festival prévu le 27 février prochain au Fouta

« J’étais ministre de la Culture et du Tourisme. Mais, quand le gouvernement a été réaménagé,

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Cap Skirring

Le Cap Skirring (ou Cap Skiring) est situé à l’extrémité sud-ouest du Sénégal dans le département d’Oussouye, la région de Ziguinchor et la région historique de la Casamance. Il fait partie de la communauté rurale de Diembéring. C’est également un village situé à proximité immédiate du Cap et à environ 70 km de Ziguinchor, à la frontière de la Guinée-Bissau.

 

Occupé à l’origine par un petit village de pêcheurs, il fut découvert et apprécié par les Français de Ziguinchor comme zone balnéaire de villégiature au début des années 1960. A l’époque, le village se trouvait en pleine brousse.

 

Une piste d’atterrissage en terre, pour petits avions, a été construite à la fin des années 1960 par des membres de l’Aéroclub de Ziguinchor. Cela attira l’attention des tours opérateurs qui, avec l’accord du gouvernement sénégalais, firent évacuer le village de pêcheurs pour installer en 1973 les hôtels à l’endroit même où les Ziguinchorois avaient construit leur case de villégiature.

La piste fut allongée et bétonnée pour accueillir des avions gros porteurs de Dakar ou directement d’Europe.

Ce succès donna naissance au village de Cap Skirring proprement dit.

 

Depuis la signature des accords de paix en décembre 2004, toute la Casamance est désormais sécurisée et accessible.

 

La saison des pluies (début juillet à fin septembre) rend la zone balnéaire moins agréable à cause des moustiques, des forts orages et pluies qui peuvent s’y produirent, sans oublier la courte période des physalies.

 

On voit des traces d’un ancien système volcanique. C’est, par ailleurs, la présence de ces rochers faisant obstacle aux courants atlantiques qui a façonné la magnifique anse de la plage du Cap Skirring.

Sénégal

Sénégal

Musée de la Femme Henriette Bathily

 

Le musée de la Femme Henriette Bathily est situé sur l’île de Gorée, en face de la Maison des Esclaves.

 

D’après un projet conçu dès 1987 par le cinéaste Ousmane William Mbaye, il a été fondé en juin 1994 sous la direction d’Annette Mbaye d’Erneville, femme de lettres, de radio et journaliste.

 

Dans cette belle demeure coloniale à deux étages, construite en 1777 et ayant appartenu à une riche signare, Victoria Albis, on trouve des objets usuels, des outils agricoles, des instruments de musique, des poteries, des vanneries, ainsi que des photographies permettant de mieux comprendre la vie quotidienne de la femme dans le pays. Les grandes figures de l’émancipation féminine au Sénégal y sont aussi célébrées, par exemple la romancière Aminata Sow Fall.

 

Des ateliers y sont organisés et les femmes de l’île s’y retrouvent pour travailler ensemble, suivre des cours d’alphabétisation ou recevoir une formation à l’artisanat (teinture, batik, tissage ou broderie traditionnelle). Des projets spécifiques sont destinés aux femmes handicapées.

 

L’institution semble pâtir du voisinage immédiat de la Maison des Esclaves qui draine tous les visiteurs venus à Gorée, mais la fonction d’animation et la portée sociologique de ce premier musée dédié aux femmes sur le continent africain sont indéniables.

Goree

Goree

Maison des Esclaves

Gorée - Sénégal

Gorée – Sénégal

 

La Maison des Esclaves est un édifice historique situé sur l’île de Gorée, tout près de Dakar. En premier lieu, cette maison appartenait à la Signare Anna Colas

Pépin, niéce d’Anne Pépin.

Ce bâtiment rose se trouve sur la côte est de l’île, situé rue Saint-Germain, face au Musée de la Femme Henriette Bathily.

C’est un lieu d’une grande portée symbolique et, une destination incontournable pour quiconque — personnalité en vue ou touriste anonyme — se rend au

Sénégal.

De fait, cet édifice à deux étages construit au XVIIIe siècle — la date exacte reste sujette à controverse, comme on le verra ci-dessous — n’est pas très

grand. Au rez-de-chaussée, les « cachots » sont vides et les seules traces tangibles d’un passé tragique sont quelques chaînes rouillées et les écriteaux

à l’entrée des cellules (Hommes, Enfants, Chambre de pesage, etc.). Cependant le regard du visiteur est immédiatement attiré par une ouverture

lumineuse au milieu du couloir central. Donnant de plain pied sur la côte rocheuse, c’est la porte du « voyage sans retour », là où — nous dit-on — les esclaves

embarquaient pour une vie de souffrance dans le Nouveau Monde, encadrés par des gardiens armés au cas où ils auraient tenté une évasion.

Un peu à l’écart, à droite du porche d’entrée, se trouve le bureau du maître des lieux, tapissé de documents et de citations humanistes, telles cette déclaration

d’Hampâté Bâ : « En Afrique, quand un vieillard meurt, c’est une bibliothèque qui brûle » ou d’autres aphorismes et incantations de son propre cru : « Qu’à tout

jamais, pour la préservation de ces lieux, les générations se souviennent pieusement des souffrances endurées ici par tant d’hommes de race noire ».

Si la demeure n’est pas spectaculaire en elle-même, en revanche l’éloquence du conservateur Joseph Ndiaye (1922-2009) laisse rarement le visiteur indifférent, et l’émotion en gagne plus d’un, notamment lorsqu’il évoque les trois siècles d’esclavage à Gorée, les 15 à 20 millions de Noirs (dont six millions auraient succombé à la malnutrition et aux mauvais traitements) qui auraient quitté l’île à destination des plantations américaines. Le conservateur décrit aussi longuement les familles séparées, les hommes pesés comme du bétail et l’absence dramatique d’hygiène dans les « cachots » sordides de cette Maison des Esclaves.

 

Dès les années 1960, la détermination de Joseph Ndiaye a redoublé l’attention des médias, des gouvernants et des organismes internationaux sur une île que la création du Festival mondial des Arts nègres en 1966 avait déjà sortie de l’anonymat. Un vaste plan de sauvegarde se met en place. En 1975, Gorée est inscrite sur l’inventaire des monuments historiques du Sénégal et en 1978, sur la liste du patrimoine mondial. Sous l’égide de l’UNESCO, un timbre français consacré à la Maison des Esclaves est émis en 1980 dans la série « Patrimoine mondial ». Les Postes sénégalaises ont également, à plusieurs reprises (notamment en 1985, 1994 et 1998), émis des timbres dédiés à la sauvegarde de Gorée et en particulier à la Maison des Esclaves. En 1990, celle-ci est restaurée avec l’aide de l’UNESCO, de nombreux organismes — dont la fondation France Libertés —, ainsi que des fonds privés.

Cette consécration internationale lui a conféré une apparence de légitimité et l’organisation onusienne est allée jusqu’à la qualifier de « centre historique du commerce triangulaire », la désignant comme « un lieu hautement symbolique de l’histoire des peuples ».

Chaque jour, à l’exception du lundi, les touristes se pressent à l’entrée soit environ 500 par jour.

De nombreuses personnalités ont ainsi fait le voyage, tels le président du Sénégal Abdoulaye Wade, son prédécesseur Abdou Diouf, les présidents Bongo, Houphouët-Boigny, Lula, François Mitterrand, Jimmy Carter, Bill Clinton et George Bush, l’empereur Bokassa Ier, l’impératrice Farah Diba et sa mère, le roi Baudouin et la reine Fabiola, Michel Rocard, Jean Lecanuet, Lionel Jospin, Régis Debray, Roger Garaudy, Harlem Désir, Bettino Craxi, Nelson Mandela, Jesse Jackson, Hillary Clinton et sa fille, Breyten Breytenbach, les chanteurs James Brown et Jimmy Cliff ou encore le pape Jean-Paul II qui vint en 1992 y demander le pardon du Ciel « pour ce péché de l’homme contre l’homme, ce péché de l’homme contre Dieu ». La Maison des Esclaves a notamment inspiré un film, « Little Senegal » de Rachid Bouchareb, des romans, des livres pour enfants et même une bande dessinée.

Sans doute Léopold Senghor avait-il pressenti un tel engouement lorsque, dès 1967, il remercia le conservateur Joseph Ndiaye pour son éloquence et sa « contribution efficace au développement culturel et touristique du Sénégal ».

Géographie et climat

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Le Sénégal a une importante façade maritime à l’ouest bordée par l’océan Atlantique (530 km de côtes). Le fleuve Sénégal constitue une frontière au nord avec la Mauritanie et à l’est avec le Mali. Au sud-est, la frontière avec la Guinée est traversée par les contreforts de la montagne du Fouta-Djalon et au sud-ouest avec la Guinée-Bissau par une forêt tropicale. La Gambie forme une enclave et sépare la région de la Casamance avec le reste du pays. Sa pointe ouest (la presqu’île du Cap-Vert) constitue la partie la plus occidentale de toute l’Afrique. Le pays s’étend sur 196 192 km². Si on le compare à ses voisins, le Mali et la Mauritanie, le Sénégal est un pays de petite taille. Le climat est au nord de type désertique et au sud de type tropical avec : * une saison des pluies de juin à octobre avec des précipitations plus intenses en août et septembre; et variables selon la latitude. C’est la période des moussons. On ne peut parler de vraie saison des pluies qu’en Casamance, seule région où il y a des forêts denses. * une saison sèche de novembre à juin avec des alizés continentaux. Les températures suivent les saisons : * pendant la période de pluie, les températures sont à leurs maximales; * pendant la période sèche, elles sont au minimum au mois de janvier. Sur le littoral, la mer apporte de la fraîcheur, les températures sont de l’ordre de 16 °C à 30 °C mais le centre et l’est du Sénégal peuvent avoir des températures allant jusqu’à 41 °C. Pendant l’hiver en Europe, le Sénégal devient une destination appréciée permettant de développer une activité touristique. De manière générale, l’ouest du pays, représenté par le littoral, connait des températures plus fraîches qu’à l’est grâce à l’océan. Le centre et l’est du pays connaissent des températures continentales très chaudes pendant la journée, et fraîches la nuit. Du nord au sud, il existe 5 types de domaines climatiques appartenant au climat tropical : * Dans la zone sahélienne, au nord dans la région de Saint-Louis, une végétation typique du Sahel représente le domaine de la steppe arborée ou arbustive. De nos jours, la désertification touche cette zone. L’acacia est l’arbre le plus présent avec quelques baobabs. * Dans la zone sahélo-soudanienne, qui s’étend sur les régions de Dakar, Thiès, Diourbel, Louga, Matam, la steppe fait place à la savane arborée et sèche. Le baobab, l’acacia et le fromager y sont les espèces dominantes. * Dans la zone soudanienne, vers les régions de Fatick, Kaolack, tout le nord et le centre de la région de Tambacounda, la végétation de type savane est beaucoup plus dense que dans la précédente zone : les arbres y sont beaucoup plus fréquents, et des forêts clairsemées apparaissent. Baobab, acacia, fromager et palmier sont présents dans cette zone. * Dans la zone soudano-guinéenne, au nord des régions de Ziguinchor, Kolda, et au sud de la région de Tambacounda, les forêts ainsi que les grandes savanes très denses y sont observées. Les arbres sont variés : baobab, fromager, palmier, filao et rônier. * Dans la zone guinéenne, au sud des régions de Ziguinchor et Kolda, on commence à y reconnaître les caractéristiques du climat équatorial, avec les forêts très denses, parfois presque impénétrables. Tous les arbres du Sénégal y sont présents.

Tourisme

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Avec ses 700 Km de plages de sable fin, un climat doux et agréable, situé à 6 h 30 min d’avion de New York et seulement 5 h des grandes capitales européennes, le Sénégal est la première destination d’ Afrique noire francophone. Le tourisme constitue l’un des secteurs les plus dynamiques de l’économie sénégalaise. Il se maintient en seconde place après la Pêche, mais devant les Phosphates et l’Arachide. Le Sénégal accueille environ 700 000 touristes, avec une capacité hôtelière de 20 000 lits répartis dans 320 hôtels. En raison des formidables opportunités d’investissement qu’offre ce secteur, le tourisme constitue pour le Gouvernement un enjeu majeur en termes de créations d’emplois, de développement régional, d’aménagement du territoire, de croissance et de valeur ajoutée locale. L’orientation stratégique retenue est qu’en 2010, le Sénégal sera une destination de renommée internationale et un haut lieu de culture et de loisirs, accueillant plus de 1.500.000 touristes. Le Sénégal offre un dépaysement garanti et d’intérêts touristiques divers, c’est la Grande Afrique avec ses traditions toujours vivantes et son accueil chaleureux : le mot « Téranga », bienvenue se lit sur tous les visages. Nombreuses sont les opportunités de développement liées au tourisme, dont les principales sont : * La région de Thiès, par son importance démographique et économique, où le tourisme et l’artisanat jouent déjà un rôle majeur sur la Petite Côte à 70 km de Dakar (thalassothérapie, balnéaire, plaisance, pêche sportive, golf); * La Route des Niayes où est localisé le Lac Rose, à 40 km de Dakar, qui doit son nom à la couleur de ses eaux chargées de sels minéraux; * Le Centre-Ouest du pays avec les « Iles du Saloum », a pour vocation de devenir un pôle majeur pour l’Eco tourisme, la chasse et la pêche; * La Région Nord avec la ville de Saint-Louis comme capitale pourrait, avec une côte de près de 200 km de plage de sable fin et parcs, constituer un axe de développement touristique majeur où d’importants investissements d’infrastructures sont prévus; * Le Sud dispose, en plus de son capital balnéaire, d’un gros potentiel de tourisme de découverte culturelle et nature; * Le Sud-Est présente un intérêt pour la chasse, les randonnées dans la nature et le tourisme culturel. La mise en œuvre de la nouvelle stratégie de développement du secteur permettrait le démarrage d’une nouvelle dynamique qui aboutira à la privatisation des parcs nationaux et réserves : * La Région de Saint- Louis est riche de traditions historiques et de merveilles naturelles, avec les Parcs Nationaux de Gandiole, de la Langue de Barbarie, et le parc des oiseaux de Djoudj. * Le Parc National des Iles du Saloum, à 150 km au sud-est de Dakar, dans un milieu exceptionnel où les eaux et la terre se mélangent, riche du savoir-vivre de ses habitants, de sa végétation de mangrove, et d’une forte concentration d’oiseaux marins et lacustres. * Le Parc National de Niokolo Koba, à 650 km de l’est de Dakar, sanctuaire de la vie sauvage et des grands fauves d’Afrique, dans ses paysages d’une beauté prodigieuse, s’étend sur un million d’hectares. Autres opportunités: * La Thalassothérapie et les Soins : dans la capitale sénégalaise tout comme à l’intérieur du pays commencent à se multiplier des centres de soins et de remise en forme ; * Le Tourisme balnéaire haut de gamme avec 200 km de plages vierges au nord et 300 km au sud est une formidable opportunité à saisir ; * Les Loisirs : golf, promenades sur les dunes de la Grande Côte, les sports nautiques …complètent cette diversité. Dakar, capitale du Sénégal Moderne et accueillante, Dakar est une destination de premier choix pour le tourisme d’affaires. Ville carrefour, elle est au confluent des cultures africaines et européennes. La ville de Dakar est considérée être l’une des villes les plus agréables d’Afrique grâce à son atmosphère cosmopolite et animée, son climat tempéré, ses attractions variées, ses nombreux hôtels, ses cafés, ses restaurants agréables accessibles à tous les budgets, et ses discothèques où se produisent de célèbres groupes africains. Dakar constitue un véritable pôle de développement touristique avec, notamment : * L’aéroport international L.S. Senghor; * Une dizaine de grands hôtels 4 étoiles de standing international, parfaitement équipés pour l’organisation de séminaires et manifestations professionnelles et culturelles; * Une vie culturelle active : théâtre, musées, artistes et artisans; * Le site historique de Gorée; * Plusieurs centres de pêche sportive de renommée internationale; * De nombreux établissements de sports et loisirs, balnéaires et autres (golf, équitation, etc.). Une industrie culturelle émerge grâce à une réelle synergie entre le Tourisme et l’Art. Depuis quelques années sont organisés trois festivals : * Le Festival de jazz de Saint-Louis; * Le Carnaval de Dakar; * La SIMOD (semaine internationale de la mode à Dakar). Le secteur touristique représente de formidables opportunités d’emplois. Il importe de donner tout l’intérêt aux ressources humaines à travers une politique de formation qualitative et quantitative. Le tourisme au Sénégal est un pivot de développement nécessitant une grande mobilisation de l’investissement public et privé, national et étranger. Visitez le site de la Société d’Aménagement et de Promotion des Côtes et Zones Touristiques du Sénégal: http://www.sapcco.sn

Mafé

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Préparation 1 Dans une cocotte, mettre à chauffer l’huile et faire dorer la viande coupée en morceaux, ajouter un oignon et une moitié d’ail (coupés en fins morceaux). Saler. 2 Laisser mijoter environ 2 minutes. Verser la tomate délayée dans un peu d’eau et mettre le « yéte » soigneusement lavé. Laisser mijoter encore un peu. Ajouter 1 litre et demi d’eau et attendre jusqu’à ébullition. 3 Piler un oignon et une moitié d’ail, nététou (lavé), un peu de piment sec et du poivre. Ajouter la pâte d’arachide délayée dans un peu d’eau et ce mélange déjà pilé. Laisser cuire une 1/2 heue. 4 Mettre les légumes en commençant par les plus durs à cuire c’est à dire carottes, navet, choux blanc et 15 minutes après les patates douces entières. Laisser cuire 1/2 heure. 5 Remuer souvent afin que la pâte d’arachide n’attache pas au fond. Tester le goût du sel. Servir chaud avec du riz blanc.

Ingrédients 1 kg de paleron de boeuf (ou veau) 1/4 l d’huile d’arachide 200 g de Pâte d’arachide : (dakatine on le trouve dans les épiceries exotiques) 2Oignons   100g de Concentré de tomate 1 morceau de yéte :  (Mollusque séché typiquement sénégalais, on le trouve parfois dans des épiceries spécialisé dans les produit africains très fort en goût) du netetou : ingrédient sénégalais (graines de néré fermenté ce qui remplace le bouillon de cube chez nous très fort en goût) 1 gousse d’Ail 2 quartiers de Choux blanc :  (on le coupe très souvent en 4) 3 Carottes 1 Navet 3 Patates douces 2 Oignons 1 Piment Sel, piment (sec), poivre, une feuille de laurier

Joal-Fadiouth

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Joal Fadiouth est une commune située à l’extrémité sud de la Petite Côte. Elle réunit deux villages, Joal – le plus gros –, établi sur le littoral, et Fadiouth – le plus visité –, une île artificielle constituée d’amoncellement de coquillages et reliée à la côte par un pont en bois. Les origines de la ville restent controversées. L’installation des Sérères dans cette zone pourrait s’expliquer par l’avancée des Almoravides qui les contraignirent au XIe siècle à quitter la vallée du fleuve Sénégal pour venir occuper la Petite Côte et la région du Sine. Joal et Fadiouth pourraient aussi avoir été fondées par les Guelwar lorsqu’ils furent chassés du royaume du Gabou. Les deux versions trouvent aisément leur justification si l’on considère les patronymes les plus répandus aujourd’hui. La période coloniale voit se succéder Portugais, Hollandais, Français et Anglais, et Joal devient l’un des plus grands comptoirs commerciaux de l’ouest du Sénégal. Le développement du commerce triangulaire favorise aussi l’avancée du christianisme et dès 1636 des missionnaires s’installent sur la côte. Mais l’évangélisation rencontre une forte résistance et c’est seulement au XIXe siècle qu’elle commence à prendre de l’importance, notamment grâce aux Français. En 1850, une mission est érigée dans le village et le premier prêtre y est ordonné en 1885. C’est également à cette époque que l’on signale le passage à Joal de El Hadj Oumar Tall, comme en témoigne la mosquée construite en son hommage. Un important patrimoine architectural rappelle cette grandeur passée. Joal Fadiouth a d’abord été un canton, puis un cercle. Elle a été érigée en commune de plein exercice dans le cadre de la loi du 1er février 1966, complétée par le décret du 3 février 1972 fixant les limites de la commune. Aujourd’hui Joal Fadiouth fait partie du département de M’bour, elle occupe la pointe sud de la région de Thiès. Ses maires successifs ont été Jean Collin, Emmanuel Sobel Diouf et aujourd’hui Paul Ndong. La commune s’étire le long de la côte, sur une longueur de 10 km, entre Ngazobil et Palmarin. Le territoire de la commune couvre 5 023 hectares, dont 5011 pour Joal et 12 pour Fadiouth. La population est principalement d’origine sérère. Dans un pays majoritairement musulman, dans l’île de Fadiouth 90% des habitants sont chrétiens. Joal Fadiouth occupe aussi une position intermédiaire du point de vue du climat et de la végétation, entre le domaine sahélien au nord et la luxuriance de la Casamance au sud. Du fait de sa position dans l’estuaire, la plus grande partie de la superficie de la commune, 3 000 hectares, est régulièrement immergée sous l’influence des marées. Le climat est de type sahélien avec 3 à 4 mois d’hivernage de juillet à octobre et des températures douces de novembre à avril. La moyenne maximale ne dépasse pas 29°. L’estuaire vasier occupé par la mangrove verte toute l’année, est sillonné de bolongs et parsemé de petits îlots de coquillages, qui servent de sanctuaires aux Pangols (Fassanda Tinine, Kouta, etc.) et peuplé de baobabs et d’acacias. Les palétuviers, la zone des tannes et le littoral sont peuplés d’oiseaux marins (mouettes, bécasses, pélicans, flamants roses); on y trouve des singes, quelques cigognes et des hyènes. La faune marine est très riche. La mer étant peu profonde, les coquillages s’y développent très bien, surtout les pagnes (Senilia senilis), les rochers (Murex hoplites), les volutes (ou yeet en wolof) (Cymbium spp.), les moules et les huîtres. Les racines de la mangrove constituent une véritable nurserie et les bolongs, des viviers naturels pour beaucoup de poissons, de céphalopodes et de crustacés. Joal est le premier port de pêche du pays et vit aussi de l’agriculture et du tourisme. L’est de Joal, anciennement réservé aux activités rizicoles, reste une zone de dépression et de marécage en hivernage. Joal Fadiouth constitue une étape et une transition entre les stations balnéaires de Saly ou Nianing sur la Petite Côte et une autre zone touristique très prisée, le Sine Saloum, « la Polynésie du Sénégal ».